Sainte-Anne-de-la-Rochelle, 6 juin 2020
Cher Gilles,
je suis très honoré d’être invité à participer à cet événement 100 ans, 100 regards, organisé en votre hommage.
Je me permets que mon témoignage soit mis en parenthèse par deux extraits de votre poème « Notre jeunesse » :
« En ces temps-là, tous les paysages n’étaient que le ciel mouvant de nos fièvres
et nous cherchons en vain des visages pour notre soif de regards
et des lèvres pour notre soif de baisers. »